Nouveau Collège ucclois : pour la bonne gouvernance, on repassera

Le conseil communal de fin septembre a été marqué par l’installation du nouveau bourgmestre, Boris Dilliès, tandis que celui de la semaine dernière voyait Sophie François désignée échevine. Un double rendez-vous manqué avec la bonne gouvernance.

Le nouveau bourgmestre se consacrera à 100 % à sa tâche… en janvier !

Si Boris Dilliès avait annoncé publiquement qu’il ne cumulerait pas la fonction maïorale avec celle de député bruxellois – ce qui constituait un excellent signal –, ce ne sera toutefois pas pour tout de suite. Les Ucclois devront ainsi patienter jusqu’en janvier pour disposer d’un bourgmestre à temps plein, et ce sans qu’aucune raison sérieuse ne soit invoquée pour l’expliquer.

Parce qu’une commune de plus de 82.000 habitants nécessite selon nous un investissement à temps plein et afin de « l’aider » à tenir ses engagements, le groupe Ecolo avait déposé une motion l’invitant à quitter son poste de parlementaire bruxellois au plus tard pour le 1er octobre pour se consacrer pleinement à sa tâche au service des Uccloises et des Ucclois.

Notre texte a été déclaré irrecevable par la majorité, le chef de groupe libéral Didier Reynders prétextant que la décision du nouveau bourgmestre relevait d’un autre niveau de pouvoir et qu’il s’agissait d’une « attaque ad hominem ».

L’on ose imaginer que le vice-premier ministre ait été lui-même convaincu par les arguments qu’il a invoqué. D’autant que l’un de ses « proches », Georges-Louis Bouchez, avait déposé un texte similaire à Mons pour exhorter Elio Di Rupo à faire un choix parmi les divers mandats qu’il exerce. Personne n’est dupe, son intervention visait en réalité à éviter à tout prix que les dissensions au sein des rangs libéraux ne se retrouvent une nouvelle fois étalées au grand jour à l’occasion d’un vote sur le contenu de notre motion. Lors du vote sur la recevabilité, l’Echevin Marc Cools s’est tout de même abstenu. La presse a relayé ces débats.

Le décumul permet de garantir une plus grande disponibilité du mandataire, de limiter la concentration de pouvoir, de prévenir les conflits d’intérêt et de modérer les rémunérations publiques. Voilà pourquoi cela constitue une priorité pour Ecolo depuis toujours.

La répartition de la charge de travail n’a jamais été aussi déséquilibrée entre les Echevins

Suite à la démission d’Armand De Decker et à l’accession de Boris Dilliès à la fonction de Bourgmestre, un poste d’échevin était à pourvoir. C’est chose faite depuis quelques jours, Sophie François ayant rejoint les rangs du Collège.

Force est toutefois de reconnaître qu’elle n’a pas été couverte de compétences. Des prérogatives antérieurement exercées par Boris Dilliès (Finances, Jeunesse, Etat civil, Economie & commerce), seule l’une d’elles lui revient : Economie & commerce.

Même si le commerce local mérite naturellement que l’on y consacre du temps et de l’énergie, attribuer aussi peu de compétences à une échevine, ce n’est pas très sérieux. D’autant que l’on surcharge d’autres personnes. La répartition des prérogatives au sein du Collège, et donc de la charge de travail, n’a jamais été aussi déséquilibrée et ce alors que tous ses membres sont identiquement rémunérés.

Avec un bourgmestre qui ne le sera à 100 % qu’en janvier et une distribution des compétences totalement déséquilibrée entre les échevins, pour ce qui est de la bonne gouvernance, le Collège remanié pouvait difficilement plus mal commencer.

Projet Droh!me à l’hippodrome de Boitsfort : Uccle fait cavalier seul

Le devenir de l’hippodrome Watermael-Boitsfort, situé sur Uccle, a fait l’objet de longs et âpres débats à l’occasion du dernier conseil communal.

Ce site, propriété de la Région, n’accueille plus aucune activité hippique depuis plus de 20 ans. Il a longtemps été laissé à l’abandon entraînant sa dégradation progressive ainsi que celle des bâtiments de grande valeur patrimoniale qui s’y trouvent.

Soucieuse de revitaliser et de redynamiser cet espace, la Région a octroyé voici quelques années une concession et un droit de superficie, au terme d’un appel à candidatures et d’une longue procédure, à la société V.O. Group, porteuse du projet Droh!me.

Ce projet qui nécessite divers permis, a fait l’objet d’une étude d’incidences et a été soumis à enquête publique du 28 août au 26 septembre dernier.

De nombreux riverains et associations regroupées au sein du collectif Les Amis de l’hippodrome (ACQU, amis de la forêt de Soignes, amis du Bois de la Cambre, comité de quartier Roosevelt-Victoria, Bruxelles-Nature, COWB, Pas question, comité Tervueren…) se sont mobilisés contre ce dernier.

Ils reprochent au projet Droh!me une surfréquentation qui induirait notamment des incidences négatives sur la faune et la flore sachant que le site est situé en zone Natura 2000 et en lisière de Forêt de Soignes, sur la mobilité (report du parking en voirie dans les quartiers proches, augmentation du trafic et saturation des artères avoisinantes, en particulier de la chsée de La Hulpe, le manque de solutions alternatives …) ou encore en termes de nuisances sonores.

Autre motif d’inquiétude : le programme tel que présenté par l’exploitant semble fortement tourné vers de l’événementiel à destination d’un public davantage « privilégié » alors que l’objectif initial du gouvernement bruxellois consistait dans le développement d’activités didactiques et éducatives sur la thématique de la nature, mais aussi sportives, à l’attention d’un public familial et varié.

Pour Ecolo, s’il convient de réhabiliter ce site, de le rendre aux Bruxellois et donc que des activités puissent y être développées, il est essentiel que l’esprit initial du projet soit préservé. Tel n’est pas (encore) le cas aujourd’hui. C’est pour cette raison que la commune de Watermael-Boisfort (à l’initiative de l’échevin Ecolo Tristan Roberti) a remis un avis négatif dans le cadre de la récente concertation, tout comme la Ville de Bruxelles. Ces deux communes sont d’avis que les activités sur site doivent être limitées à 20 h.

La majorité uccloise (MR-Défi-cdH), tout comme diverses instances régionales, ne partage pas ce point de vue et s’est positionnée favorablement vis-à-vis du projet, moyennant une série de réserves. Cette attitude différente des deux autres communes ne manque pas de surprendre.

Lors du dernier conseil communal, plusieurs mandataires sont ainsi intervenus afin de connaître les motifs, les éléments, qui ont poussé le Collège ucclois à agir de la sorte.

Le nouveau Bourgmestre Boris Dilliès s’est d’emblée montré particulièrement sévère par rapport au collectif Les Amis de l’hippodrome évoquant « beaucoup de manipulation et de l’intimidation du politique » de sa part et estimant « qu’Uccle pouvait s’enorgueillir de ne pas suivre un courant calomnieux et populiste » (sic).

Sur le fond, l’échevin Marc Cools a reconnu que le principal problème résidait dans l’organisation d’événements mais que ceux visant 4500 personnes (4 fois par an) et ceux à destination de 1500 personnes (1 fois par mois) ne seraient pas autorisés. Le Collège ucclois, dans son avis, demande que les événements réunissant 600 personnes soient limités à deux par semaine.

Le Collège ucclois a également demandé que le parking soit accessible librement afin d’éviter que les visiteurs ne soient tentés de se stationner dans les quartiers environnants.

Moyennant ces balises, Uccle a donc donné son feu vert.

Il incombe ensuite aux administrations régionales de se prononcer : Bruxelles-Environnement sur le permis d’environnement et le Fonctionnaire-délégué pour ce qui concerne le permis d’urbanisme. D’après les dernières informations, Bruxelles-Environnement a délivré le permis d’environnement moyennant diverses conditions. La décision du Fonctionnaire-délégué est, quant à elle, attendue dans les semaines à venir.

Mandats, rémunérations, subsides et marchés publics communaux : Ecolo propose et obtient davantage de transparence

Ecolo se bat depuis toujours pour plus d’éthique en politique et une meilleure gouvernance, à Uccle aussi. Cela passe notamment par une information plus claire et davantage de transparence au sujet des mandats, des rémunérations, des marchés publics et des subsides octroyés.

Ainsi, à l’initiative du groupe Ecolo, il a été décidé que les informations suivantes seraient dorénavant consultables sur le site internet de la commune :

– la liste des mandats et des rémunérations des membres du collège et des conseillers communaux ucclois ainsi que leur présence aux réunions ;

– la liste des bénéficiaires (associations, clubs sportifs…) de subsides octroyés par la commune ainsi que les montants concernés ;

– la liste des marchés publics passés par la commune.

Le rapport annuel à ce propos est consultable en ligne, vous pouvez le parcourir en cliquant ici.

Par ailleurs, Ecolo Uccle va encore plus loin et propose une page « Transparence » détaillant les mandats et rémunérations de ses élus.

Pour plus d’infos, rendez-vous sur le site internet d’Ecolo Uccle.

Déménagement des services communaux : le site Danse/Beeckman accueillera 3 écoles dès septembre 2019

Dans le cadre du projet de regroupement des services communaux sur le site Ex-Fabricom, situé à l’angle rue de Stalle-rue Gatti de Gamond, les bâtiments qui seront libérés suite à ce déménagement ont été mis en vente. Ainsi, les immeubles de la rue Danse et de la rue Beeckman ont fait l’objet d’une vente de gré à gré pour un montant total avoisinant les 5 millions d’euros.

Ce sont trois écoles qui se sont portées acquéreuses et qui devraient s’installer d’ici 2 ans sur le site. Il s’agit des écoles Saint-Vincent de Paul et Sint-Vincentius déjà implantées dans l’îlot et qui pourront donc procéder à une extension de leurs infrastructures. Le troisième établissement concerné est l’Ecole « La Famille » qui accueille des enfants ayant un handicap moteur.

Bientôt une nouvelle ligne de bus STIB à Uccle : le bus 37 Gare de Linkebeek-Albert

Le nouveau Plan STIB directeur bus induira plusieurs modifications aux lignes qui desservent notre commune. Les parcours des bus 41 et 43 seront ainsi partiellement revus.

Par ailleurs, outre la création d’une ligne de bus 74 qui reliera le Vivier d’Oie à Forest et Anderlecht, une ligne de bus 37 sera créée. Elle offrira une connexion entre la gare de Linkebeek et la Place Albert. Celle-ci devrait emprunter notamment la chaussée de Saint-Job, l’avenue De Fré, l’avenue Coghen et la chaussée d’Alsemberg.

Davantage de précisions concernant le parcours et la date de lancement de cette nouvelle ligne prochainement.

Campagne de mise à jour des renseignements cadastraux : où en est-on ?

Fin 2015, la Commune lançait une campagne de mise à jour des renseignements cadastraux. Un courrier était adressé aux Ucclois propriétaires d’un bien répertorié par la matrice cadastrale en confort 0 ou 1 (sur une échelle de 3) alors que l’on suppose que des éléments de confort y ont probablement été ajoutés depuis l’attribution de la note.

En réponse à une question orale que j’ai introduite en juin dernier, l’Echevin Cools a indiqué que l’envoi des courriers était clôturé, 3502 missives ayant été expédiées. A l’heure actuelle, le taux de réponse est de 70,11 %. Un rappel va être adressé à la minorité de propriétaires qui n’a pas réagi. Une vingtaine de personnes a fait savoir qu’elle ne souhaitait pas communiquer les éléments demandés. Pour ces propriétaires, contact a été pris avec le Ministère des Finances afin qu’il se charge directement du suivi. Le cas échéant, un fonctionnaire du cadastre effectuera une visite domiciliaire auprès de ceux qui ne souhaitent pas coopérer.

Armand De Decker sollicite (déjà) sa pension de bourgmestre : une demande indécente ?

Le 2 août dernier, l’Echevin Marc Cools s’indignait du fait qu’Armand De Decker sollicite déjà sa pension de Bourgmestre alors qu’il occupe encore actuellement un poste de député à la Région.

A cette occasion, l’Echevin de l’Urbanisme écrivait ce qui suit sur Facebook :
« Armand De Decker, Bourgmestre démissionnaire d’Uccle, a annoncé qu’il renonçait à la rémunération de Bourgmestre à laquelle il pouvait encore prétendre pendant quelques semaines jusqu’à la désignation de son successeur. Il n’a par contre pas précisé qu’il avait demandé de pouvoir bénéficier à partir de ce moment de sa pension de Bourgmestre. Une pension qu’il va pouvoir cumuler avec son traitement de Député (environ 10.000 euros brut par mois). Même si le cumul après 65 ans d’une pension et d’autres revenus professionnels est légal, la décence aurait voulu qu’il attende de ne plus être parlementaire pour pouvoir bénéficier de sa pension de Bourgmestre. D’autant plus que son épouse est également Députée bruxelloise et que tous deux ont encore d’autres mandats rémunérés ».

Si la démarche d’Armand De Decker est certes légalement inattaquable, elle est moralement très discutable, pour ne pas dire franchement inopportune. Qui plus est dans le contexte actuel et dans le chef d’un maïeur sortant qui se doit, nous l’avons dit en d’autres occasions, d’endosser un rôle d’exemplarité. On se souviendra qu’il a été reproché, à juste titre, au bourgmestre de la ville de Bruxelles de percevoir des indemnités de sortie alors qu’il occupait au même moment plusieurs mandats rémunérés.

Le groupe Ecolo n’a pas manqué d’interpeller le Collège au sujet de ce qui précède lors du conseil communal de rentrée. Le bourgmestre ff. Boris Dilliès a confirmé qu’Armand De Decker bénéficierait de sa pension de bourgmestre dès le 1er octobre alors même qu’il occupe concomitamment un poste de député à la Région. Le Collège n’a pas jugé cette demande inappropriée, contrairement au point de vue exprimé par l’Echevin Marc Cools. Dès le moment où Armand De Decker sollicite sa pension, il n’a de toute manière d’autre choix que d’y réserver une suite favorable.

Notre groupe continuera à agir pour une gestion plus éthique et davantage de transparence. Un cadastre des mandats a ainsi été mis en ligne sur le site de la commune à notre initiative (voyez l’article à ce sujet).

Voilà en tout cas un épisode qui ne va pas participer à restaurer l’image de notre commune, ce qui est regrettable.

Un agorespace à la Sauvagère qui fait bondir les joueurs de basket

Voici quelques mois, la Commune installait un agorespace (petit terrain multisport) au Parc de la Sauvagère. Au premier abord, le projet paraît naturellement séduisant. Pourtant il est loin de faire l’unanimité.

Et pour cause : il a été construit sur le terrain de basket existant sans aucune concertation avec ses utilisateurs. Aucun processus de participation ou consultation des joueurs de basket et des sportifs qui fréquentent régulièrement le parc n’a été organisé par la Commune. Pire, alors que certains joueurs avaient d’initiative pris contact avec les services communaux voici plusieurs années pour proposer diverses améliorations, pour demander certaines rénovations peu coûteuses, aucun suivi n’a été assuré. Certains de ces joueurs entretenaient spontanément le terrain de longue date, notamment en remplaçant à leurs frais les filets des panneaux de basket.

Dès l’entame des travaux de l’agorespace, un comité a spontanément vu le jour. Ce comité a (re)pris contact avec les services communaux et l’Echevine des Sports Carine Gol-Lescot pour tenter de préserver le terrain de basket. Ils ont insisté sur le fait que le nombre de terrains de basket est en diminution constante à Uccle (à titre d’exemple, celui de la place St-Job a disparu), qu’un agorespace met en concurrence les joueurs de basket avec les joueurs de football qui disposent pourtant déjà de nombreux terrains, que la structure grillagée de l’agorespace s’intégrerait fort mal dans le parc, qu’elle réduirait nettement la surface de jeu, qu’elle pouvait être installée ailleurs et enfin que son coût (75.000 € financés par la Région) était nettement supérieur aux rénovations légères qu’ils souhaitaient.

Les membres du comité ne se sont pas contentés de rencontrer l’Echevine. Ils ont lancé une pétition qui a déjà rassemblé plus de 600 signatures (vous la retrouverez ici) et se sont également  déplacés en nombre lors d’un conseil communal. Ils y ont faire part de leur incompréhension, ont regretté l’absence de tout dispositif participatif et ont formulé diverses alternatives, sans résultat jusqu’à présent. Le groupe Ecolo, par la voix de Maëlle De Brouwer, a appuyé leurs demandes.

La mobilisation ne semble pas faiblir. Très actifs sur Facebook (vous pouvez les suivre sur cette page), ils ont récemment créé une asbl et envisagent de réinterpeller le Collège prochainement.  Affaire à suivre…

Une passerelle pour les vélos et piétons rue de Verrewinkel

Annoncée depuis plusieurs années, cette passerelle rue de Verrewinkel devrait être installée l’année prochaine. Elle sera « adossée » au pont existant au-dessus du chemin de fer, offrant ainsi une traversée sécurisée aux piétons et cyclistes. Le coût des travaux s’élèvent à 720.000 €, pris en charge par l’État fédéral via le fonds Beliris.

Outre la réalisation de la passerelle, le projet comporte l’aménagement de 2 placettes. La SNCB a déjà marqué son accord sur ce dernier. Les entrepreneurs devraient être désignés fin 2017. Sachant qu’il convient de tenir compte du trafic ferroviaire, c’est le mois d’août 2018 qui a été retenu pour le placement de la passerelle.

Ce dispositif au profit de la mobilité douce, trop souvent délaissée à Uccle, permettra de mieux connecter le Sud de la Commune. On ne peut naturellement que se réjouir de son installation.

Marché public 2018-2021 pour les repas scolaires : Ecolo s’est abstenu

Voici quelques semaines, le conseil communal était amené à se prononcer sur le marché public relatif aux repas à destination des élèves et personnes âgées pour la période 2018-2021 qui s’élève à environ 6 millions d’euros.

On se souviendra qu’à la suite d’une erreur de taille dans les critères d’attribution retenus par la majorité uccloise, la PME qui disposait du marché précédemment n’avait pas pu repostuler lors de la dernière reconduction de celui-ci. Plusieurs parents s’en étaient émus et avaient introduit une interpellation citoyenne à ce sujet. Cette fois, le Collège a tout mis en œuvre pour éviter une nouvelle mésaventure.

Notre groupe a salué le fait que les proportions de produits bio et de produits locaux soient en augmentation pour les différentes catégories d’aliments (minimum 40 % pour les produits laitiers, 60 % pour les œufs, 20 % pour la viande, 95 % pour les pommes et les poires…) par rapport au précédent marché.

Nous nous sommes néanmoins abstenus pour deux raisons. Tout d’abord, compte tenu du grammage (trop) élevé de viande retenu pour les repas (le double de ce qui est prévu pour les enfants à Watermael-Boitsfort et 20 % de plus que ce qui constitue la référence à Saint-Gilles). Ensuite, en raison de la trop grande pondération donnée au critère d’attribution lié à la « dégustation » (notamment les aspects olfactifs, gustatifs et visuels) par rapport, par exemple, à la question de l’apport nutritionnel, de l’équilibre et de la composition du repas.